L’association Gwada MLCE en partenariat avec le Conseil Régional, le Conseil Départemental, la DEAL et l’ADEME, a initié en 2021, une étude sur la faisabilité de la mise en place d’une monnaie locale sur la région Guadeloupe. Cette étude est menée pour la première fois en Guadeloupe à l’échelle de tout le territoire.
Qu’est-ce que l’étude de faisabilité sur la monnaie locale ?
L’étude porte sur l’intérêt des acteurs économiques de Guadeloupe, de se regrouper dans un réseau de prestataires partenaires acceptant une solution de paiement locale et solidaire et souhaitant s’engager dans une démarche de progrès dans leurs activités. Ces progrès peuvent être dans la relocalisation de certains de leur fournisseur, dans la réduction et le tri de leur déchets, dans la diminution des intrants de pesticides dans leurs cultures et de nombreux autres aspects spécifiques à chaque activité.
Les résultats permettront de connaître les attentes des professionnels, associations et collectivités de Guadeloupe au niveau de l’interaction économique, du développement du chiffre d’affaire, de la mise en place d’outils de numérisation des commerces et de co-création d’outil de résilience territorial. Ces données précieuses permettrons de mesurer les besoins et orientation attendues des parties prenantes afin de mieux structurer l’organisation de la monnaie locale et de ses actions prioritaires.
Quelles sont les questions posées ?
Les renseignements fournis seront très utiles pour connaître vos préoccupations en matière de flux de consommation, de fournisseurs, d’envie de faire sens pour un développement économique endogène, d’implication dans des ateliers de co-création, de volonté d’agir dans une transition écologique sur notre territoire.
Qui sera interrogé ?
Près d’une centaine entreprises, associations, groupements, particuliers seront invités à participer à cette enquête. Des ateliers de réflexion seront organisés pour réunir les acteurs autour d’une table et poser ensemble les utilités, contraintes du déploiement de la monnaie locale.
Comment se déroule l’étude ?
L’étude sera effectuée en majorité grâce à des questionnaires sur internet. Une équipe de terrain ira aussi à la rencontre des habitants, des chefs d’entreprises et d’association pour discuter, évaluer, comprendre les attentes et envies de chacun. Des ateliers seront organisés pour co-développer ensemble la monnaie locale.
Combien faut-il de temps pour répondre aux questions ?
La durée de réponse au questionnaire varie de 15 à 20 minutes.
Le questionnaire est-il confidentiel ?
Oui, cette enquête respecte la loi sur la protection des données à caractère personnel.
Les résultats seront traitement de manière totalement anonyme et aucune exploitation commerciale ne pourra en être faite. Vos réponses nous intéressent dans le seul but statistique.
Présent-e-s : Nicolas ( Président ), Elodie (Trésorière), Suzanne ( Vice-présidente) « collectif bèf gwadloop » : Valentin, Frédérik, Océane, nouveaux venus : Stéphane et Nicolas
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Réunion initiée par Gwada MLCE et Bèf gwadloop, pour discuter des avancements de chacun et intégrer des nouveaux adhérents de l’association.
Six mois après notre première rencontre avec le collectif Béf gwadloup cette réunion visait à échanger sur l’évolution des entités et des stratégies de développement de chacun. Cette réunion nous a permis de mettre en perspective les stratégies de développement de l’association et du collectif.
Un moment de tour de table à permis à chacun d’exprimer son ressenti sur la période de Covid et confinement et nous rappeler la nécessité de disposer d’un outil de résilience comme la monnaie locale. Nous avons partagé les différentes expériences de chacun et discuter de l’avancement des projets.
Depuis le mois de janvier, Le collectif bèf Gwadloup travaille toujours sur sa charte de valeurs et quelques personnes sont venus se joindre au mouvement. ils ont pour intention de créer des manifestations de sensibilisation sur la monnaie locale à la rentrée de septembre 2020. Le travail de la rédaction de la charte du collectif a été mis en standby pendant le covid et ils ont effectué 3, 4 livraisons de repas pendant le confinement à des personnes en difficultés. Du côté de l’association Gwada MLCE nous avons présenté nos actions passées et avons présenté nos actions futures. Le gros du travail à venir est pour nous de faire financer une étude de faisabilité par l’ADEME et les collectivités comme la Région Guadeloupe, le Conseil Départemental et la Banque des Territoires.
La réalisation pendant le covid d’un live de 5h de conférence en partenariat avec « Et Demain la Guadeloupe ? » mettant en valeur de nombreuses associations à permis de mettre en lumière l’intérêt d’un bailleur comme l’ADEME au soutien du développement de la monnaie locale sur le territoire de la Guadeloupe.
Après un entretien plus approfondi avec le directeur de l’ADEME, l’association Gwada MLCE a décidé de se rapprocher d’un cabinet spécialisé dans l’accompagnement de mise en place de monnaie locale.
Nous avons lors de cette soirée avec le collectif « bèf guadeloup » évoqué notre vision quand à la professionnalisation de l’équipe nécessaire à la réalisation d’une étude de faisabilité de qualité.
Les points de différence entre le collectif et notre association étaient sur le fait que nous souhaitions solliciter des institutions pour nous apporter des fonds pour structurer une étude de faisabilité qui nous ouvrirait des portes dans le monde politico-économique, alors que le collectif souhaitait avant tout que le projet se structure sans les institutions.
Après avoir partager nos feuilles de route, nous avons décidé de nous retrouver en septembre pour se revoir et discuter des expériences de chacun.
Nous avons déja beaucoup avancé à l’association et le temps est venu pour nous de voir plus grand et d’impliquer des têtes de réseaux dans ce projet, en effet il nous semble indispensable d’associer à la co-création de ce projet de monnaie locale les institutions, les collectivités, les entreprises, les associations et les citoyens.
Le collectif quand a lui cherche encore ses valeurs, ses modes opératoires et a rassembler plus de citoyens pour poser ses bases.
Nicolas fait tout de même remarquer au collectif que notre association partage l’ensemble des publications Facebook du Collectif, mais que de leur côté ce n’est pas le cas. C’est dommage car nous pensons que nous travaillons dans un même but, même si nos stratégies et niveaux d’avancement sont différents.
Présent-e-s : Nicolas ( Président ), Marie-claude (Secrétaire), « collectif bèf gwadloop » : Valentin, Frédérik
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Réunion initiée par Bèf gwadloop, pour rencontrer des personnes motivées par la mise en place d’une monnaie locale.
Valentin et Frédérik se sont rencontrés récemment et partagent l’envie commune de participer à la mise en place d’une monnaie locale sur la région Guadeloupe. C’est en suivant la page facebook de frédérik que Nicolas a vu passer cette information. L’événement n’a pas eu un grand succès puisque personne hormis Nicolas et Marie-claude ont répondu à l’appel du « Collectif ». L’endroit retenu la Casa Datcha n’était pas non plus très approprié aux échanges. Cependant nous avons été heureux de découvrir de nouvelles personnes motivés par la monnaie locale.
Valentin nous a présenté son parcours au sein de la Roue, la monnaie locale marseillaise et son envie de développer une monnaie locale en Guadeloupe. Frédérik nous a présenté son intérêt pour les monnaies locales depuis déja plusieurs années ce qui l’a poussé à mettre en place une page Facebook.
Nous avons donc partagé nos expériences et présenté l’association Gwada MLCE. Valentin et Frédérik ont parler de leur envie de porter de leur côté une réflexion en coconstruction avec les personnes qu’ils seraient amenées à rencontrer par la suite.
L’endroit n’étant ni le bon lieu pour parler tranquillement, nous avons proposer de nous revoir dans un espace plus approprié. Nicolas a présenté le Spot coworking de Jarry comme un espace de rencontre plus adapté et permettant de se réunir plus sereinement pour travailler. Valentin a proposer de créer un groupe Télégram pour poursuivre les échanges. L’objectif de la prochaine rencontre serait de comparer des chartes de valeurs afin de proposer des améliorations.
Au niveau de la rencontre nous n’avons pas senti le réel intérêt de Valentin et de Frédérik pour devenir adhérent de l’association. Ils souhaitent faire évoluer leur collectif et structurer une charte de valeur de leur côté; nous avons convenu de partager nos retour d’expérience et nos projets même si nous ne sommes pas au même niveau d’avancement. Nous comprenons que chacun puisse vouloir réinventer « la ROUE ». sic
Présent-e-s : Nicolas ( Président ), Elodie (Trésorière),Frédéric, Sébastien, Marie, David, Ludivine, Pascal
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Réunion initiée par Nicolas, pour présenter aux nouveaux adhérents les principes de la monnaie locale, les actions effectuées et les orientations souhaitées
Rencontre de cohésion d’équipe et de structuration des pôles de l’association, présentation des manifestations à venir.
# Ordre du jour
• Tour de table, météo personnelle
• Sujet principal :
◦ Présenter l’intérêt de la MLCE auprès des nouveaux
◦ Retour d’expérience des manifestations passées
▪ Inquiétudes sur l’ampleur de la tâche de sensibilisation
▪ Stratégie de mobilisation des bénévoles
▪ Préparation de demandes de subvention FDVA, Commune de Sainte-Anne
▪ Quelles sont les bonnes vidéos explicatives ? Les meilleurs supports pour présenter simplement aux nouveaux adhérents :
présentation de la chaine youtube avec les playlist des vidéos sélectionnés
▪ Un point sur l’évolution des monnaies locales dans la caraïbe, dans l’hexagone
point sur le Kwak et ses difficultés, présentation de la monnaie libre de Martinique Woozcoin, présentation de la monnaie libre La June, présentation du J.E.U. jardin d’échange universel., réflexion sur les interactions et bonnes idées applicables à la Gwada MLCE
▪ Point sur les actions passées, l’évolution des bénévoles, le préengagement de certaines professionnels et les attentes de ces derniers
▪Retour sur les questionnaire enquête initiés sur les gratiféria, analyse des attentes en termes monétaires des utilisateurs et des professionnels
Comment financer une étude de faisabilité ?
▪ Quels sont les bailleurs possible ? Combien peut-on espèrer ? Quel budget faut-il ? Qui pour nous accompagner ?
▪ Comment convaincre les collectivités, région, département, mairies et communautés d’agglomération ?
# Tour de table
David : rappel que lors des échanges pendant les gratiférias les gens sont sensibles et intéressés, leur plus grosse demande concernent la carte des commerces qui accepteraient la monnaie locale. Ils nous ont conseillés de mettre à jour un annuaire des entreprises qui accepteraient d’utiliser la monnaie locale pour avoir une vision plus clair des secteurs et du nombre de personnes motivés afin de représenter quelques choses de plus palpables.
Nicolas va s’occuper de créer l’annuaire et de mettre à jour les personnes ayant répondu aux questionnaires et intérréssées pour être des professionnelles acceptant la MLCE
Elodie : Rappel des ateliers FDVA qui n’ont pas aboutis l’année dernière et qu’il faudrait s’y prendre un peu plus tôt et concrétiser un dossier solide
Pascal à déja fait des demandes de subventions et propose d’apporter son aide
Ludivine rappelle que pour elle il faut arriver à trouver plus de bénévoles et propose d’initier une réflexion sur des manifestations de quartier sur Sainte-Anne.
Nicolas rappelle qu’il avait été suggérer de prendre des jeunes en service civique pour nous assister dans l’association.
Sebastien : nous présente l’outil Slack pour partager nos infos plutôt qu’utiliser les groupes Whatsapp
Marie nous parle de ses difficultés avec ses nouveaux outils et que Whatsapp lui correspond mieux
# Comment se faire aider ?
1 – pourquoi la région n’a pas suivi le projet de monnaie locale
manque de connaissance de la portée de l’outil MLCE
-> continuer le travail de sensibilisation auprès du département ESS de la Région et de Mme JEAN-DENIS
2 – pourquoi Marie-Galante ne donne pas de nouvelles ?
il faut sensibiliser les politiques
# Autres infos :
Effectuer plus de réunions en Visio avec Zoom ou skype
Jour des réunions le Jeudi soir de 18h à 20 h
Elodie nous présente des outils de gouvernance, des MOOC sur la cocréation de projet et d’autres sources pour apprendre. Elle nous propose de partager plus d’activités extra associative comme des sorties plages le Week-end.
Première partie : communication interne, entre nous, règles de communication bienveillante
– Quand une personne parle, on la laisse terminer son idée
– tout peut être dit
– Ne jamais ressortir frustré
– nous entendre sur des règles de communication bienveillante
– laisser les gens s’exprimer librement
– s’écouter
– mode de décision par consensus, et si pas possible : par consentement (avec débat et
amendement de la proposition), sinon vote à main levée au 2/3
Rencontre avec les mairies :
Exemple de questions à Mr Andres, adjoint au Maire d’Epinal
Les services de la Mairie qui reçoivent des paiements des usagers et pourraient – potentiellement – recevoir de la monnaie locale (il ne s’agit ni de propositions ni d’engagements):
– Transports urbains
– restauration scolaire (mais elle est fournie par un groupe, Elior)
– piscine et équipements (golf, spinaparc, patinoire…)
– la carte d’animation (stages pour enfants)
– BMI
– crêches
On attire cependant l’attention sur la nécessité de bien distinguer ce quidépend de la Mairie et ce qui dépend de la communauté
d’agglomération. On discute ensuite des moyens d’évaluer les services de la Mairie en vue
de l’agrément Brimbelle :
– Mr Andres pense qu’il est délicat de juger les services municipaux : Il souligne le risque de déborder sur le champ politique.
Il craint une dissuasion à s’engager pour la monnaie locale. Il faut donc être prudent et réfléchi sur cette question.
– De plus, il souligne l’inégalité des communes dans la qualité de leurs services, en fonction de leurs budgets inégaux, et de la difficulté de les juger toutes sur la même échelle.
– il précise aussi que la loi interdit, par exemple, de faire figurer des closes de préférence locale dans les appels d’offre, ce qui limite la
possibilité pour les communes de faire appel à des prestataires du territoire.
– On conclut que, puisque la vocation d’une collectivité est le service public, elle se place forcément, par son rôle, sa structure, dans le champ de valeurs des MLC, et que la solution serait peut-être – si l’on veut véritablement associer les institutions à notre projet – de donner l’agrément à toutes les collectivités territoriales désirant rejoindre le réseau, de manière automatique et définitive.
Pour rejoindre l’esprit de la charte, on suggère de plutôt sélectionner les services des collectivités répondant à ses objectifs (par exemple, les transports en commun, la culture…) et de limiter les usages de la monnaie locale à ces services qui, eux, répondent aux critères. Enfin, Mr Andres nous suggère un interlocuteur à ses yeux essentiel à notre démarche :
le SCOT, schéma de cohérence territoriale, un syndicat intercommunal ayant comme préoccupation la trame verte, la trame bleue, l’occupation des sols, l’urbanisme, la démographie, l’écologie et l’énergie.
La démarche partenaires
Suite à la conférence publique nous convenons qu’il est nécessaire d’engager vite le démarchage des partenaires. [Remarque ajoutée par Annick : le démarchage ne devrait-il pas commencer avant les conférences ? (ex : du commerçant très occupé lors de notre visite à qui nous offrons la possibilité de venir à la conférence en toute tranquillité, tout en ayant déjà parcouru les documents que nous lui aurons remis)…]
1° Prise de Rendez-Vous
Présentation de la MLCE, de la charte et remise d’un flyer de présentation intégrant les liens utiles vers des vidéos
2° Rendez-Vous
Lors du 2° contact l’objectif est de récupérer l’adhésion du partenaire à l’association de soutien de Gwada MLCE en échange, remise de l’autocollant « Je soutien le Gwada ».
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Réunion initiée par Élodie, pour mieux se connaître et définir des stratégies et moyen de communication autour de la mise en place de la monnaie locale Le Gwada
Partager des outils et valeurs : solidarité et collaboration
# Ordre du jour
• Tour de table
• Sujet principal :
◦ Argumenter l’intérêt de la MLCE auprès des commerçants
◦ Présentation de notre monnaie auprès des commerçants : retour d’expérience
▪ Inquiétudes des commerçants
▪ Points qui les intéressent
▪ Phrases d’introduction qui marchent
▪ Quelles sont les bonnes pratiques ? Comment les partager ?
▪ Comment aider Gwada MLCE à prendre de l’ampleur ? Quels sont les moyens nécessaires
(personnes, temps, argent, …) Quelles formations doit-on suivre ?
▪ Comment numériser le Gwada ?
▪ Comment financer le projet de mise en place de la MLCE
▪ Que feront les commerçants des Gwadas qu’il reçevra ?
▪ Comment convaincre les collectivités, région, département, mairies et communautés d’agglomération ?
# Tour de table
Christian : rappel du village de l’ESS à la région au mois d’octobre – village ESS au MACTe
Stéphane : regarder Lemon Way ou monkey money pour la dématérialisation de la MLCE, Cyclos gère déjà plusieurs milliers de monnaies dans le monde,
Nicolas : propose de commencer sur le territoire de la CARL pour recruter des prestataires, projection du film enquête de sens au MACTe le jeudi 30 Août, importance d’y être avec des supports de communicaiton
Elodie : Rappel des ateliers FDVA avec le DLA, mardi et mercredi pour finalisation des demandes de subventions.
Julia : besoin de pitch calé pour convaincre les commerçants de l’utilité de la MLCE, rapprochement avec Gratiferia et Gwada partage.
Frédéric : rappel des formations MOOC disponible sur le site web pour ceux inscrit en tant que membre de l’équipe.
Sandrine : intérêt dans le recrutement de service civique pour la rentrée et de se rapprocher de l’UAG pour trouver des étudiants pouvant faire un mémoire sur la mise en place de la MLCE
Sebastien : besoin d’outil de communication pour tout le monde pour se réunir plus souvent en visioconférence, utilisation du logiciel Zoom et de framasoft pour le réseau social.
Colette : monnaie locale moyen pour se rencontrer, justement réunir, mixité sociale
# Comment s’adresser aux entreprises ?
1 – On est une association qui veut relier les commerces de proximités
augmentation du CA : nouvelle clientèle différente et régulière captive (5% d’augmentation)
réduction des coûts : pub, coût d’acquisition d’un client, 3% moins que les tickets resto
faire signer un « pré-engagement » : si cela se met en place, on est prêt à accepter cette MLCE
créer une normalité et un engagement pour montrer aux autres qu’il y en a beaucoup
Repasser pour donner un auto-collant bientôt ici Le Gwada
arguments : pub pour eux (site, brochure, mise en avant régulière), label (réseau)
-> gros intérêt pour l’organisation d’événement
Préocupations par rapport à la monnaie :
il faut se déplacer pour convertir mes MLCs en euro : pas le temps
Création de contenus pour les réseaux sociaux :
filmer la rencontre
# Autres infos :
Effectuer des réunions deux fois par mois en présentielle et deux fois par mois en visioconférence.
Jour des réunions le Jeudi soir de 18h à 20 h
Appel aux volontaires, le rôle des membres du bureau est de :
porter les valeurs et les couleurs du Gwada
Participer aux réunions de bureau un soir par mois
Participer à la mise en oeuvre des décisions de l’AG
Participer à la gestion de l’association
Participer à des événements
Organiser la formation des bénévoles
Les activités des bénévoles, inscription sur les tableaux :
Préparer les tracts, les distribuer
Tenir les comptoirs d’échange
Faire de la pédagogie
Animer ou créer un jeu
Écrire des articles
Réaliser des reportages, des vidéos pédagogiques
Démarcher des commerçants, des artisans…
Aider à la gestion
Etudier, planifier et mettre en oeuvre des actions
Certaines mairies déterminent une ou plusieurs périodes durant laquelle déposer une demande de subvention. Si aucune date n’est précisée, déposez votre dossier de préférence en automne, avant que les comptes de la commune ne soient votés. Si la somme demandée est minime comparée aux finances de la commune, la demande peut se faire en cours d’année.
Quel formulaire ?
Le dossier unique de demande de subvention Cerfa n° 12156*05 est obligatoire pour adresser une demande à un service de l’État. Ce dossier unique peut être rempli directement en ligne sur le site www.servicepublic.fr. Il comporte 7 parties à remplir dont notamment une présentation de l’association ; le budget prévisionnel ; une description du projet et les attestations sur l’honneur. Les collectivités sont invitées à utiliser ce formulaire mais proposent parfois leur propre dossier. Sans procédure spécifique, constituez un dossier de demande de financement le plus complet possible et comportant :
une lettre de présentation de l’association mentionnant notamment la liste des membres responsables ;
une lettre de motivation relative au projet ;
une description de l’action avec si possible des indicateurs d’évaluation relatifs à la faisabilité et la pertinence du projet ;
le budget prévisionnel ;
le compte-rendu de la dernière assemblée générale et comptes de l’année précédente ;
la somme demandée.
Intérêt public local
Une subvention, de la part d’une commune ou d’un EPCI, ne peut être octroyée que pour des projets d’intérêt public local. La clause générale de compétences permet cependant aux communes des interventions dans tous les domaines. L’assemblée délibérante de la collectivité est seule juge de l’intérêt local et il n’y a aucune obligation légale à verser des subventions aux associations locales. Le pouvoir discrétionnaire de la mairie comporte cependant une limite : le principe d’égalité de traitement. Deux associations analogues ne peuvent être considérées de façon différente !
La mairie ne peut par exemple refuser d’attribuer une subvention à une association si elle l’accorde à une autre sans le justifier par une différence de situation ou pour les nécessités d’intérêt général (cf. CE 8 avril 1998, req n° 165284).
Accord ou refus
Notez que rien n’oblige formellement la mairie à répondre sous quelque forme que ce soit.
Si la réponse est positive, et au-delà du seuil de 23 000 euros, une convention est obligatoire. En dessous, une convention peut être utile dans la mesure où elle précisera les termes de l’octroi de la subvention (versement, temporalité, montant…).
Une subvention doit être utilisée en conformité avec les objectifs prévus, c’est pourquoi un bilan est demandé après l’action. Si les buts n’ont pas été atteints, la collectivité est en droit de ne pas verser la subvention, ou de se faire rembourser tout ou partie des sommes avancées.
Si la réponse est négative, l’association peut contester le refus en saisissant le juge administratif d’un recours pour excès de pouvoir dans les deux mois de sa notification. L’association peut invoquer l’incompétence, le vice de forme ou de procédure dans le cas où la demande n’a pas été soumise au vote de l’assemblée délibérante par exemple.
Quels rôles pour les collectivités ?
Soutenir financièrement la phase d’amorçage : Nous l’avons vu dans les modules précédents, le budget de lancement d’un projet de MLC peut rapidement grimper surtout s’il comprend le financement d’une solution numérique, essentielle pour un changement d’échelle. Pour donner toutes ses chances au projet, l’association devra lever des fonds pour recruter des salariés et financer les outils. Si les associations doivent construire leur projet autour d’un modèle économique pérenne, elles auront besoin du soutien des collectivités pour financer une partie de la phase d’amorçage (au moins sur les trois premières années).
Accepter le paiement des services publiques en MLCE : Plus l’offre des prestataires acceptant la MLC comme moyen de paiement sera complète et diversifiée, plus les citoyens seront motivés pour l’utiliser, intégrer le paiement des services publics est donc un véritable atout ! A la Roche-sur-Yon on peut d’ores et déjà payer de nombreux services publics en Vendeo (à retrouver sur ce lien) ; à Boulogne sur mer on peut payer les transports, les crèches et les bibliothèques en Bou’Sol ; la ville de Chambéry accepte le paiement en Elef pour l’entrée des musées, cités des arts et médiathèque ; à Ustaritz on paye la piscine municipale en Eusko … (A noter que le malus à la reconversion ne peut pas s’appliquer aux collectivités).
Effectuer des règlements en MLCE : Si les collectivités peuvent encaisser des règlements en MLC, le décaissement est beaucoup plus discuté. Depuis début janvier 2018, la sous-préfecture de Bayonne et la préfecture du département veulent empêcher la mairie de Bayonne de payer en euskos. La mairie de Bayonne a voté cet été, à l’unanimité, une délibération prévoyant d’accepter les euskos pour le paiement des services publics mais aussi de faire des règlements en euskos, le texte indiquant « le versement d’indemnités aux élus et de subventions aux associations ainsi que le règlement de factures ». La sous-prefecture a demandé au maire de revenir sur cette décision, ce qu’il a refusé estimant que la loi Hamon du 31 juillet 2014 reconnaît officiellement les MLC. Une procédure en justice a alors été initiée et a fait l’objet d’un premier non-lieu suite à quoi le préfet des Pyrénées-Atlantiques a annoncé qu’il saisirait de nouveau la justice administrative. Ce bras de fer juridique devrait permettre de clarifier le cadre légal, c’est le moment pour les collectivités convaincues qui soutiennent le développement des MLC de le faire savoir et de demander à l’État de clarifier la situation en reconnaissant explicitement la possibilité pour les collectivités d’effectuer des paiements en MLC.
Promouvoir le dispositif : Les collectivités ont de nombreux outils et canaux de communication dans lesquels elles peuvent relayer la promotion des dispositifs MLCE.
Les collectivités doivent se placer dans une posture de facilitateurs/incubateurs/accélérateur, mais en aucun cas être des donneurs d’ordres. Il ne s’agit surtout pas de transformer ces initiatives citoyennes en projets top-down. Comme le rappelle souvent le Mouvement Sol, le caractère transformateur des MLC est essentiel, il s’agit de reconsidérer la richesse, de définir ce qui est important pour nous sur le territoire et surtout de le faire ensemble, collectivement, pour une réappropriation de la monnaie par les citoyens.
Avec Andrea, nous sommes convaincues que le changement d’échelle des MLC passera par une association collectivités/citoyens réussie.
Afin d’en apprendre un peu plus sur vos intérêts par rapport à la mise en place de la monnaie locale Le Gwada sur notre région Guadeloupe, nous avons rédigé deux questionnaires pour évaluer un peu plus vos différentes attentes. Vous trouverez en suivant ces liens les deux questionnaires :
Dans le cadre du mois de l’Economie sociale et solidaire, le réseau de Gwada MLCE organisera au mois d’octobre, une soirée-débat, autour du film de Philippe Derruder : La monnaie, du pouvoir d’achat au pouvoir d’être.
Cette soirée sera l’occasion de présenter le mouvement des monnaies locales complémentaires qui se développent partout dans le monde et plus particulièrement l’expérience de la monnaie citoyenne de la Région Guadeloupe « Le Gwada ». Elle circule depuis aout 2018 lors d’événement de producteurs locaux et réunit une quarantaire d’adhérents.
Les monnaies locales permettent de soutenir l’économie, le commerce et l’artisanat local en redonnant à l’argent son rôle d’outil pour recréer directement la richesse sur le territoire et du lien entre les individus. Elles aident à la relocalisation de l’économie et limitent l’empreinte écologique. Elles sont une alternative à l’euro. Elles sont indexées à notre monnaie centrale, mais une des règles d’or est d’être épargnée, de circuler et de servir l’économie locale.
Aujourd’hui, il y a en France, 70 expériences de monnaie locales dont 25 en circulation.
Elles permettent également de remettre l’argent au service de l’économie réelle pour reprendre la main sur un système mondial ultra financiarisé, ne servant plus que des intérêts purement spéculatifs, au détriment des investissements concrets. Les euros issus du change de la monnaie locale sont déposés dans une banque éthique (NEF, Crédit Coopératif).
LA BOURSE OU LA VIE,
Ou les monnaies locales complémentaires & citoyennes à la rescousse
UNE VIDEO DE 19 MINUTES PROPOSEE PAR PHILIPPE DERUDDER
Le plus souvent présentées comme un outil de redynamisation des économies locales dans une logique de développement durable, Les monnaies locales complémentaires et citoyennes (MLCC) ont encore du mal à convaincre même si leur nombre croit rapidement. Car consommer responsable et local peut se faire avec les monnaies nationales, non ?
Cette vidéo, en libre accès sur youtube vise un double but :
– Celui de mieux faire comprendre le formidable outil d’évolution socio-économique qu’elles représentent,
– Celui d’être un outil pédagogique pour aider les groupes initiateurs de monnaies locales dans leurs démarches de communication. Voir la vidéo
LA LAISSE
UNE VIDEO DE 9 MINUTES PROPOSEE PAR PHILIPPE DERUDDER
Cette courte vidéo est construite à partir d’extraits du film :
» La monnaie, du pouvoir d’achat au pouvoir d’être » (voir ci-dessous).
Elle a pour but de faire comprendre la nature de la monnaie,
pourquoi nos pays sont endettés et comme il serait facile
de mettre la monnaie au service de tous les humains
dans le respect de la planète. Voir la vidéo
SOLUTION MONNAIE-TERRE
UNE CONFERENCE ILLLUSTREE DE PHILIPPE DERUDDER
– À l’heure où la monnaie est une simple unité de compte créée à partir de rien par la seule volonté humaine.
– À l’heure où l’avenir ne dépend plus de la quantité de ce qu’on peut produire mais du respect des équilibres essentiels à la vie,
C’est le Bien commun, la recherche incessante d’amélioration de la qualité de la vie obéissant strictement a ce que la planète peut soutenir qui doit présider à la production et à nos modes de vie. Son financement doit donc être autonome, libéré des limites de la fiscalité et de l’emprunt qui asservissent la plupart pour le seul avantage de quelques uns et qui conduit à une destruction progressive de notre planète.
Tout est prêt pour opérer cette libération. Voici comment… Voir la vidéo
LA MONNAIE – DU POUVOIR D’ACHAT AU POUVOIR D’ETRE
UNE CONFERENCE ILLLUSTREE DE PHILIPPE DERUDDER
Sortir de l’ignorance entretenue sur la monnaie :
– c’est comprendre les raisons de l’impasse dans laquelle on s’enfonce,
– c’est réaliser comment la monnaie est devenue l’outil d’un asservissement moderne,
– c’est s’offrir la possibilité de voir comment il est possible de mettre l’argent au service de l’humain et de la planète.
Tout est là, à portée de main !
Ce film a vocation d’éclairer sur la question monétaire afin de gommer l’ignorance qui nous tient en esclavage.
C’est pourquoi nous avons tenu à le mettre en libre accès sous forme séquencée sur le site Youtube : Voir la vidéo
La double face de la monnaie – Un film de Vincent Gaillard et de Jérôme Poulidor
– Tina Films – Réflexion sur l’argent
et présentation de 3 expériences de monnaie complémentaire. Voir la vidéo
Solutions locales pour un désordre global – Film de Coline Serreau – Solutions et alternatives pour guérir la planète. Voir la vidéo
Lets make money – Film de Erwin Wagenhofer :
La finance internationale et sa responsabilité dans les crises humaines, économiques et écologique. Voir la vidéo
Liste thématique :
L’ARGENT
Réflexions générales
L’argent – (Isaac ISITAN) Film tourné à l’époque de la crise argentine. D’où vient l’argent ? Comment est-il créé ? Qui le contrôle ? Comment vient-il à manquer ?
Interview de Philippe Derudder : Comprendre les enjeux monétaires (Qu’est ce que la monnaie – comment le système fonctionne – la spéculation – les alternatives – les monnaies complémentaires).
Qui crée l’argent ? Un film très explicite sur la création monétaire de Gabriel Rabhi.
L’argent dette – Vidéo d’animation réalisée en 2006 par le canadien Paul Grignon – Money as debt explique, de manière très ludique, le mécanisme par lequel les banques privées créent l’argent.
La réserve fédérale américaine – Archives oubliées – Comment la Réserve fédérale américaine a été créée par le cartel de 6 méga banques. Comment le même processus a conduit à la création des banques centrales dépossédant les États de la création monétaire, au seul profit d’une oligarchie financière mondialiste, et au détriment de tous les peuples.
Débat historique sur la création monétaire au parlement britanique le 20 novembre 2014 traduit en français par Gérard Foucher.
The corporation – évolution historique de l’entreprise (corporation ) et comment son pouvoir s’impose à la souveraineté des nations ( en anglais sous titré ) 2h15
Géopolitique
Les assassins économiques – Le néo colonialisme – lecture de l’histoire récente au travers du témoignage de John Perkins sur les stratégies utilisées par les pays riches et en particulier les États Unis pour prendre le pouvoir dans des pays ciblés.
La face cachée du pétrole – Documentaire de Patrick Barbéris et Éric Laurent. (en 6 parties) – Histoire du pétrole depuis son orIgine et son influence géopolitique.
Conférence de Philippe Derudder : « Alternatives pour une nouvelle économie » en 2 parties :
– Première partie – 30 minutes
– Deuxième partie – 40 minutes
L’enjeu du salaire – avec Bernard Friot. Le revenu de base – Présentation et réflexion sur l’idée du revenu de base et comment le financer. Au pays du Bonheur National Brut : Principe d’organisation social et économique mis en œuvre au Bouthan. Un reportage de Marie-Monique Robin, bien connue par ses précédents films comme Le Monde selon Monsanto ; Notre poison quotidien ; Les Moissons du futur…
Crise économique et financière
Comprendre les dessous de la crise bancaire et financière de 2008…
– Première partie : la création monétaire
– Deuxième partie : la financiarisation de l’économie
– Troisième partie : Fausse monnaie ? Vraies dettes !
– Quatrième partie : Quelques perspectives
The American Dream (en anglais ) – Petit film d’animation qui explique la crise et la responsabilité du système monétaire.
Comment Wall-Street affame le monde… La bulle alimentaire : comment Wall Street a affamé des millions de personnes dans le monde sans être inquiété.
Dette publique
Argent, dette et guerre – Une vidéo de Lisandru Kalee qui éclaire ces questions d’actualité au travers de l’histoire. Elle fait une belle synthèse du livre, de David Graeber, la dette, 5000 ans d’histoire.
Le salaire de la dette – Dans les années 80, pris au piège de la dette, les gouvernements du tiers-monde se sont vus obligés de rembourser leurs emprunts avec des taux d’intérêts cinq à six fois supérieurs à ceux pratiqués sur les marchés financiers. À partir d’un état des lieux lucide, ce film explore les raisons de ces échecs et décrypte les mécanismes en jeu.
Les Etats-Unis : Une mort à crédit (Vidéo en 5 parties)
– Partie 1 – Partie 2 – Partie 3 – Partie 4 – Partie 5 – Documentaire en anglais sous-titré de James D. Scurlock. Etats-Unis, 2006 Le sytéme de crédit aux USA et ses illusions.
Le malheur est dans le prêt – Ce film Retrace la genèse de l’explosion de la bulle immobilière aux États-Unis, il montre à quel point cette crise était prévisible, voire prévue par certains.
L’ÉCOLOGIE
Agriculture – Alimentation
Interview de Claude Bourguignon – Ingénieur agronome, connu pour ses travaux sur la micro biologie des sols – Comment on détruit la terre. Comment nourrir tout le monde – Film d’animation qui explique pourquoi une partie de la population mondiale souffre de malnutrition et comment on pourrait faire. Il est temps d’incarner les utopies – Yannick Le Guern reçoit Pierre Rabhi, pour une émission tournée vers la terre et l’humanisme, dans l’émission « L’art de changer le monde et de bâtir une humanité meilleure » sur Radio Widoobiz. Entretien avec Philippe Desbrosses animé par Lilou : La graine, ce miracle de vie à préserver. La guerre des graines – Très bonne vidéo qui pose clairement la question de la souveraineté alimentaire, du respect de la vie, de la liberté…
Entretien avec Francis Dupuis-Deri, professeur en sciences politiques à l’UQAM (Université du Québec à Montréal) et auteur de « Histoire politique d’un mot aux États Unis et en France » aux éditions Lux.
Nous sommes à la recherche de nouvelles structures souhaitant participer à l’expérimentation !
Contactez Nicolas sur contact@legwada.com
L’idée 1 : remercier les bénévoles
Chaque structure (association, SCIC, SCOP) expérimentant le « Parcours Bénévole » ouvre une poignée d’évènements à l’expérimentation, qui seront disponibles aux bénévoles souhaitant participer eux-aussi au parcours bénévole. Les structures expérimentatrices reconnaissent ainsi l’engagement des bénévoles, et forment un réseau dans lequel les bénévoles sont invités à découvrir les autres expérimentateurs, bénévoles comme structures. Les bénévoles s’inscriront ainsi dans un parcours-découverte des structures culturelles. (En pratique: les bénévoles pourront bénéficier d’offres chez les partenaires)
L’idée 2 : valoriser le bénévolat
On en revient toujours au chiffres n’est-ce pas ? On parle ici de valorisation comptable. Les structures participantes vont pouvoir valoriser l’engagement de leurs bénévoles en faisant figurer leur travail dans leurs comptes, et notamment dans leur compte de résultat et leur bilan. Cela leur permettra de pouvoir disposer d’une lecture plus précise des actions menées, de faire remonter les plafonds des subventions et de pouvoir justifier d’une participation en ressources propres et co-financement lors des constitutions des dossiers de demandes de subvention.
Les acteurs s’inscriront ainsi dans une valorisation structurelle des parcours de leurs bénévoles.
Concrètement
Pour le bénévole :
Cela consiste à « comptabiliser » vos heures de bénévolat de manière précise. Pas d’inquiétude pour vous puisque ce seront les salariés ou administrateurs référents de chaque association qui s’en occuperont. Ce décompte est destiné à valoriser avec fidélité les apports représentés par le bénévolat dans les bilans d’activités et les bilans économiques des associations.
Pour les structures (associations…)
Cela consiste à proposer un certain nombre de places ou d’accès gratuit aux évènements et activités des associations en échange de « Gwadas » pour l’engagement des bénévoles. Un programme-guide présentant ces activités et les associations qui les gèrent ainsi que les modalités pour bénéficier de ces accès sera publié sous forme de magazine.
Nous nourrissons l’espoir que les structures et les bénévoles concernés apprendront ainsi à mieux se connaitre, et que se créera ainsi une toile les réunissant autour d’un nouveau projet de société.
Et maintenant qu’est-ce qu’on fait ?
Il s’agit de valoriser votre investissement dans ces projets, sans lequel les associations auraient bien des difficultés à fonctionner. Avec le soutien du Fonds Social Européen et l’appui de l’association Gwada MLCE, les associations ont imaginé tester une action autour de cette envie commune.
L’idée est de vous permettre :
de mieux connaître les différents projets des associations en présence
de pouvoir utiliser la valorisation de votre temps passé en bénévolat pour aller découvrir les activités proposées par les autres associations, et pourquoi pas d’en devenir également bénévole !
Vous êtes une association, une SCIC, une SCOP, vous souhaitez pouvoir remercier vos bénévoles et participer à l’expérience de Gwada MLCE , contactez Nicolas de Gwada MLCE : contact@legwada.com
« Aujourd’hui 97% des transactions de monnaies « officielles » circulent dans les sphères spéculatives et seulement 3% dans l’économie réelle. »
Notre monnaie nous appartient, redonnons-lui du sens. Réinventons ensemble une économie non spéculative à visage humain qui restera au service de notre territoire.
L’association “Gwada MLCE” met en place une monnaie locale complémentaire environnementale, faisant de l’argent un outil de développement local, en dehors de toute spéculation et accumulation.
Nous souhaitons reconsidérer la place de l’argent dans nos systèmes d’échange. Nous savons qu’une monnaie peut être porteuse de sens et de valeurs.
En adhérant à l’association “Gwada MLCE”, je m’engage à utiliser la monnaie locale comme :
Porteuse de valeurs éthiques, écologiques, et sociales dans une recherche de mieux-être collectif ;
Outil pour inciter chacun à mieux comprendre sa façon de produire et de consommer ;
Moyen de contribuer à une alternative non-spéculative au modèle économique actuel.
En signant cette Charte des valeurs, je m’engage en tant que consom’acteur ou consom’actrice citoyen.n.e, prestataire, collectivité ou partenaire financier à favoriser :
L’activité et les emplois locaux en privilégiant les productions, les services et les commerces de proximité, dans une démarche de qualité ;
Les pratiques respectueuses de la nature, de notre environnement et de la santé ;
Les échanges entre acteurs locaux dans un esprit de complémentarité, de coopération et de solidarité.
L’accès à la qualité des biens et des services au plus grand nombre ;
De bonnes relations et conditions de travail.
L’association Gwada MLCE Monnaie Locale Complémentaire Environnementale fonctionne grâce à ses groupes de travail.
Composés de bénévoles, ils se réunissent régulièrement pour faire grandir le réseau :
Groupe Essaimage
Il s’occupe de trouver de nouveaux professionnels pour agrandir le réseau :
Identification des professionnels susceptibles de rejoindre l’association
Accompagnement aux adhésions professionnelles
Démarchage et rencontres pour répondre aux questions
Groupe Communication
Il est en charge de l’organisation de toute la communication de l’association :
Rédaction des contenus et diffusion sur les réseaux sociaux, lettre d’info, dans les différents organes de presse, …
Création des visuels pour la communication externe, affiches, flyers, etc…
Groupe Présentation
Il est en charge de l’organisation des évènements :
Réunions d’informations publiques, présence sur les évènements du territoire, …
Démarchage des professionnels avec le groupe essaimage
Groupe Développement
Il est en charge de la préparation des dossiers et coopérations :
Dossiers auprès des collectivités locales
Contact avec les différentes associations de l’économie sociale et solidaire du territoire
Groupe Parcours des Gwadas
Il est en charge d’analyser et de rendre lisible la circulation de notre monnaie locale :
Parcours des Gwadas pour les particuliers
Parcours des Gwadas pour les professionnels, identification des fournisseurs éventuels, …
Contact avec les professionnels adhérents pour prospecter de nouveaux fournisseurs susceptibles d’adhérer, …
Groupes des iles du sud
Nous voudrions créer des groupes un peu partout (Terre de haut, Terre de bas, Marie-galante,La Désirade)
C’est justement ce que vous attendiez ? Contactez-nous pour lancer la dynamique dans votre ile ou rejoindre le groupe le plus proche !
Comment ça marche ?
Pour l’instant nous sommes à la phase de structuration du réseau, chaque personne motivé par les valeurs de Gwada MLCE est invitée à adhérer à l’association et ceci pour plusieurs raisons :
1- Plus on est nombreux dans l’association, plus les collectivités nous écouterons pour : soit nous aider financièrement, soit accepter elles aussi d’utiliser le gwada. C’est notre nombre qui fait notre force.
2- Vous pouvez devenir bénévole au sein de l’association et apporter votre pierre à l’édifice de la monnaie locale. L’association Gwada MLCE a besoin de tout le monde et chacun peut être ambassadeur des valeurs.
3- Vous pouvez être informé des rencontres et animations autour de la monnaie locale, comme des soirées de projection débat avec des films sur les monnaies locales. En adhérant, vous êtes ainsi répertorié et nous pouvons vous communiquer les lieux et dates des rendez-vous
Comment ça fonctionnera ?
1> J’adhère à l’association
J’adhère à l’association Gwada MLCE et signe sa charte. Je m’associe à une démarche qui fait du sens en privilégiant les circuits courts. Par cette proximité, je renforce les liens avec mes partenaires locaux, j’intègre un réseau de professionnels et favorise l’économie circulaire sur mon territoire.
2> J’intègre le Gwada à mes moyens de paiements
Plus fort qu’un label, vos clients ont l’assurance que vous jouez la carte du local !
L’émission des factures se réalise en euros et la tenue des caisses reste identique, seules les modalités de règlement intègrent une partie en Gwadas.
3> Des Gwadas dans ma comptabilité ?
Les échanges entre les adhérents se réalisent par échanges des coupons-billets de 1, 2, 5, 10, 20 et 50 Gwadas.
Les factures émises et la tenue des caisses enregistreuses (je peux programmer sur ma caisse un nouveau mode de paiement « Gwada ») ne sont pas affectées, ces documents restent émis en euros. Seules les modalités de règlement intègrent une part en monnaie locale sous forme de coupons-billets.
L’usage du Gwada n’affecte pas l’application des impôts commerciaux (TVA, BIC, IS, IR,..) puisque ceux-ci sont toujours comptabilisés en euros.
Concrètement :
– Mes ventes sont toujours enregistrées en euros et reportées dans ma comptabilité en euros.
– Je déclare le total de mes euros + gwadas encaissés, le tout en euros.
– Selon le niveau de comptabilité propre à ma structure, je peux utiliser un sous-compte de la classe 5 (Trésorerie) et je tiens un solde journalier en Gwada que je vérifie avec mes coupons-billets.
– J’enregistre mon adhésion annuelle dans la rubrique Cotisations Professionnelles.
Et après ?
Les Gwadas récoltés sont réinjectés:
En rendant la monnaie aux clients adhérents
En payant avec mes fournisseurs et mes prestataires locaux
En me payant une partie de mon salaire en Gwadas
En payant une partie des salaires aux employés qui l’acceptent
S’il me reste trop de Gwadas, je contacte l’association Gwada MLCE :
Pour lui demander conseil pour trouver des moyens de les remettre en circulation
Pour lui indiquer qui pourrait rejoindre l’association parmi mes fournisseurs
Pour rechanger mes Gwadas en euros en dernier recours
Quand un prestataire échange des gwadas en euros, il doit s’acquitter d’une commission de 5% :
– 1. Pour permettre de financer le fonctionnement de l’association (administration, frais, communication, etc)
– 2. Afin d’inciter les prestataires à jouer le jeu de l’économie circulaire et de les réinjecter dans le réseau local.
Je veux que mes clients puissent me régler en Gwadas :
Vous être entrepreneur et vous voulez rejoindre le Gwada, être contacté par l’association, ou que nous venions vous rencontrer, rdv sur la page « Adhérer et participer »
Comment ça marche ?
Pour l’instant nous sommes à la phase de structuration du réseau, chaque personne motivé par les valeurs de Gwada MLCE est invitée à adhérer à l’association et ceci pour plusieurs raisons :
1- Plus on est nombreux dans l’association, plus les collectivités nous écouterons pour : soit nous aider financièrement, soit accepter elles aussi d’utiliser le gwada. C’est notre nombre qui fait notre force.
2- Vous pouvez devenir bénévole au sein de l’association et apporter votre pierre à l’édifice de la monnaie locale. L’association Gwada MLCE a besoin de tout le monde et chacun peut être ambassadeur des valeurs.
3- Vous pouvez être informé des rencontres et animations autour de la monnaie locale, comme des soirées de projection débat avec des films sur les monnaies locales. En adhérant, vous êtes ainsi répertorié et nous pouvons vous communiquer les lieux et dates des rendez-vous
L’adhésion est valable 1 an, le montant est libre (minimum 2€ pour les sympathisants)
Quand la monnaie sera mise en place cela fonctionnera ainsi :
1> J’échange des euros contre des Gwadas dans un bureau de change
1 Gwada valant 1 euro, je peux changer 20 € en 20 Gwadas par exemple que je pourrai dépenser chez les professionnels du réseau. Je peux ainsi convertir mon «budget local» mensuel et participer à l’économie circulaire de ma région.
2> Je regarde l’annuaire des prestataires pour dépenser mes gwadas
Il est actualisé chaque mois. Il répertorie les producteurs, commerçants et autres professionnels qui acceptent les paiements en Gwadas. Ils sont signalés par un autocollant sur leur vitrine.
– J’encourage les circuits courts
– Je favorise l’économie locale
– Je contribue au développement de mon territoire dans une démarche citoyenne et éco-responsable !
– Je suis un(e) professionnel(le) :
Je veux que mon entreprise puisse accepter les gwadas dans ses moyens de paiement,
je contacte l’association pour prendre rdv : par téléphone au 06 90 68 02 88 ou par e-mail avec le formulaire de contact
Si vous êtes professionnel adhérent et que vous voulez renouveler votre adhésion, merci de faire parvenir votre chèque à :
Gwada MLCE, 322 Impasse Delair 97180 Sainte-Anne, ou par virement bancaire
– Je suis une association non commerciale, à but non lucratif :
Je veux que mon association puisse accepter les gwadas dans ses moyens de paiement,
je contacte l’association pour prendre rdv : 06 90 68 02 88 ou par e-mail avec le formulaire de contact
Si vous êtes une association non commerciale, à but non lucratif, adhérente et que vous voulez renouveler votre adhésion, merci de faire parvenir votre chèque à :
Gwada MLCE, 322 Impasse Delair 97180 Sainte-Anne, ou par virement bancaire
– Je suis un(e) particulier(e) :
L’adhésion est valable 1 an, de juillet à juillet, et le montant est libre (minimum 5€ pour les particuliers)
Je veux soutenir l’association en adhérant
– Je suis adhérent(e) et je veux changer mes euros en Gwadas :
Je me rends dans un comptoir de change avec ma carte d’adhérent(e) :
– Je veux soutenir l’association en faisant un don :
j’envoie un chèque à l’ordre de Gwada MLCE à cette adresse : Gwada MLCE, 322 Impasse Delair 97180 Sainte-Anne
– Je participer à un groupe de travail :
Je vais sur la page « Groupes de travail » et je contacte le ou la référente pour être informé(e) de la prochaine réunion.
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