Première partie : communication interne, entre nous, règles de communication bienveillante
– Quand une personne parle, on la laisse terminer son idée
– tout peut être dit
– Ne jamais ressortir frustré
– nous entendre sur des règles de communication bienveillante
– laisser les gens s’exprimer librement
– s’écouter
– mode de décision par consensus, et si pas possible : par consentement (avec débat et
amendement de la proposition), sinon vote à main levée au 2/3
Rencontre avec les mairies :
Exemple de questions à Mr Andres, adjoint au Maire d’Epinal
Les services de la Mairie qui reçoivent des paiements des usagers et pourraient – potentiellement – recevoir de la monnaie locale (il ne s’agit ni de propositions ni d’engagements):
– Transports urbains
– restauration scolaire (mais elle est fournie par un groupe, Elior)
– piscine et équipements (golf, spinaparc, patinoire…)
– la carte d’animation (stages pour enfants)
– BMI
– crêches
On attire cependant l’attention sur la nécessité de bien distinguer ce quidépend de la Mairie et ce qui dépend de la communauté
d’agglomération. On discute ensuite des moyens d’évaluer les services de la Mairie en vue
de l’agrément Brimbelle :
– Mr Andres pense qu’il est délicat de juger les services municipaux : Il souligne le risque de déborder sur le champ politique.
Il craint une dissuasion à s’engager pour la monnaie locale. Il faut donc être prudent et réfléchi sur cette question.
– De plus, il souligne l’inégalité des communes dans la qualité de leurs services, en fonction de leurs budgets inégaux, et de la difficulté de les juger toutes sur la même échelle.
– il précise aussi que la loi interdit, par exemple, de faire figurer des closes de préférence locale dans les appels d’offre, ce qui limite la
possibilité pour les communes de faire appel à des prestataires du territoire.
– On conclut que, puisque la vocation d’une collectivité est le service public, elle se place forcément, par son rôle, sa structure, dans le champ de valeurs des MLC, et que la solution serait peut-être – si l’on veut véritablement associer les institutions à notre projet – de donner l’agrément à toutes les collectivités territoriales désirant rejoindre le réseau, de manière automatique et définitive.
Pour rejoindre l’esprit de la charte, on suggère de plutôt sélectionner les services des collectivités répondant à ses objectifs (par exemple, les transports en commun, la culture…) et de limiter les usages de la monnaie locale à ces services qui, eux, répondent aux critères. Enfin, Mr Andres nous suggère un interlocuteur à ses yeux essentiel à notre démarche :
le SCOT, schéma de cohérence territoriale, un syndicat intercommunal ayant comme préoccupation la trame verte, la trame bleue, l’occupation des sols, l’urbanisme, la démographie, l’écologie et l’énergie.
La démarche partenaires
Suite à la conférence publique nous convenons qu’il est nécessaire d’engager vite le démarchage des partenaires. [Remarque ajoutée par Annick : le démarchage ne devrait-il pas commencer avant les conférences ? (ex : du commerçant très occupé lors de notre visite à qui nous offrons la possibilité de venir à la conférence en toute tranquillité, tout en ayant déjà parcouru les documents que nous lui aurons remis)…]
1° Prise de Rendez-Vous
Présentation de la MLCE, de la charte et remise d’un flyer de présentation intégrant les liens utiles vers des vidéos
2° Rendez-Vous
Lors du 2° contact l’objectif est de récupérer l’adhésion du partenaire à l’association de soutien de Gwada MLCE en échange, remise de l’autocollant « Je soutien le Gwada ».